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Articles - Technique


Cette page a pour vocation de regrouper tous les petits renseignements techniques qui favorisent les activités du chasseur et du tireur à l'arc.

 

C'est ainsi que les plus expérimentés pourront échanger des informations avec les débutants qui consulteront ce site. Ces pages pourront parfois sembler très naïves aux plus aguerris mais seront sans doute interressantes pour les néophytes.
C'est pourquoi je compte sur vous pour m'envoyer vos "trucs"soit par Email ou bien par courrier, afin que cette rubrique soit dynamique et la plus complète possible.


A venir ( fabrication d'une corde, d'une flèche etc....)




Article 1


Notre President ouvre le bal avec une astuce pour se fabriquer un carquois
 
Pour le chasseur à l’arc, le transport des flèches à été de tout temps un problème important.
J’ai jusqu'à ce jour essayé nos différents systèmes connus, bien que certains de mes amis chassent avec seulement deux flèches tenus à la main, je pense qu’un nombre de quatre flèches soit plus raisonnable.
 
Le carquois de dos le plus sophistiqué, reste encombrant , quand il s’agit de chasser au bois. Son cousin de ceinture n’est pas meilleur, ils se remplissent l’un comme l’autre de brindilles, et autres feuilles, sans parler de la difficulté de l’extraction d’une flèche munie d’une « collerette » quand ils sont pleins.
 
 
 
 
 
Reste le carquois d’arc, le moins traditionnel, et le moins esthétique, mais il faut le reconnaître le plus pratique. Mais malgré tout le poids de l’arc augmenté, souvent déséquilibré  ce qui influe négativement sur l’emploi de notre arme favorite, notamment pour le tir rapide du petit gibier.
 
 
 
 
J’ai donc eu l’idée d’utiliser ce carquois d’arc différemment, en le portant sur le dos après l’avoir fixé sur un support de ma fabrication.
 
 
 
 
 
Ce support de forme bizarre est formé d’une armature en contre-plaqué de 6 mm recouverte de cuir et munie d’une sangle baudrier , porté à l’inverse d’une gibecière pour permettre la rotation de l’ensemble autour de l’épaule gauche ( pour un droitier ) afin de saisir une nouvelle flèche.
 
Le carquois est volontairement désaxé de son support pour rester le plus possible en ligne par rapport au dos de l’archer, ce qui évite l’accrochage dans les branches d’arbres.
 
 
 
 
Ce système n’est peut être pas la solution idéale, si toutefois celle-ci existe, mais je pense en avoir atténué au maximum les inconvénients.
 
Thevenout Alain